*La jeune prêtresse aurai tenu un prêche sur l'estrade du faubourg est.*
Ôtez la subordination, mettez cette corde hors de l’unisson,
Et écoutez quelle dissonance va suivre.
Toutes choses se rencontrent
Pour se combattre : les eaux renfermées dans leur lit
Enflent leur sein plus haut que leurs bords
Et trempent la masse solide de ce globe :
La force devient la maîtresse de la faiblesse,
Et le fils brutal va étendre son père mort à ses pieds.
La violence s’érige en droit, ou plutôt
Le juste et l’injuste,
Que sépare la justice assise au milieu de leur choc éternel,
Perdent leurs noms, et la justice anéantie périt aussi ;
Alors chacun se revêt du pouvoir,
Le pouvoir de la volonté, la volonté de la passion,
Et la passion, ce loup insatiable,
Ainsi secondée du pouvoir et de la volonté,
Doit nécessairement faire sa proie de toutes choses et finir par se dévorer elle-même. »
*la pretresse pris un instant une pause*
Les lois et l'autorité sont nécéssaire a la structure du monde, sans le respect dû a l'autorités de la couronne, il n'y aurai que le chaos, sans le respect montré aux dieux, cela serai la meme chose. Nous les mortels nous avons besoin d'ordre, de stabilité afin de pouvoir vivre.
Nous devons banir de notre seins le chaos et les éléments ne respectant pas l'ordre d'Arabel. Ceux portant offanse aux autorités de la couronnes, aux personnages illustes comme le gardien de la Corne, ou encore a ceux qui insulte les dieux. Car une fois leur colere enclanché sur certains, elle s'habat sur l'ensemble de la communauté et il est tres difficile de se remettre dans les bonne grace d'une divinité en colère. Le chaos est comme le feu, ils sont par excellence lié. Si nous ne le maitrisons pas, si nous laissons ces agents libre de faire ce qu'ils veulent. Alors tout ce que nous tenons sera détruit, prenez garde et ne toléré par le désordre, pas en ces temps de guerre, habitant d'Arabel.
Puisse l'Aube de Givre etre clémente avec vous